12/09/2006
Téléphonie mobile
Avant de changer de forfait de téléphone portable, faites bien attention.
Les minutes non utilisées pour un forfait mensuel, sont réputées reportables d'un mois sur l'autre, mais seulement dans la limite du dit forfait. De plus, sur certains "produits" commerciaux, elles n'ont alors qu'une validitée d'un mois !
Le bonus magnifique que vous aviez a disparu tout d'un coup au changement de contrat.
Par contre, il reste toujours un reliquat d'un engagement de 24 mois. Et on est bien ficelé.
Bref c'est ça la concurrence. On n'arrête pas le progrès.
Les minutes non utilisées pour un forfait mensuel, sont réputées reportables d'un mois sur l'autre, mais seulement dans la limite du dit forfait. De plus, sur certains "produits" commerciaux, elles n'ont alors qu'une validitée d'un mois !
Le bonus magnifique que vous aviez a disparu tout d'un coup au changement de contrat.
Par contre, il reste toujours un reliquat d'un engagement de 24 mois. Et on est bien ficelé.
Bref c'est ça la concurrence. On n'arrête pas le progrès.
17:50 Publié dans Calculs | Lien permanent
11/09/2006
11 septembre
Les images revues et les sentiments revenus sont forts. Les symboles sont dantesques. Fallait-il que certains se sentent terriblement dominés et d'autres totalement dominants !
19:05 Publié dans Ensemble | Lien permanent
10/09/2006
Dimanche
Au repos ! Tous !
17:55 Publié dans Loisirs | Lien permanent
07/09/2006
Rentrée scolaire 3
Ils sont tous rentrés ! Quelques vagues du bord de plage continuent de déferler au plus grand profit des vendeurs de papiers qui surfent sur quelques problèmes, il est vrai, récurrents.
19:05 Publié dans Ensemble | Lien permanent
06/09/2006
article 89 de la loi du 13 août 2004
Le projet de décret rend obligatoire la participation financière des communes pour les élèves des classes élémentaires résidant sur leur territoire, mais scolarisés dans une école privée sous contrat d’association située sur une autre commune.
Nos cinq organisations se sont opposées à ce projet de décret, comme la majorité du CSE, et nous tenons à vous rappeler les raisons de notre désaccord.
Cette disposition introduit une inégalité profonde en défaveur de l’école publique. Ainsi, dans certains cas définis précisément dans les trois derniers alinéas de l’article 212-8 du Code de l’Education, une municipalité peut refuser d’assumer les frais de fonctionnement liés à la scolarisation d’enfants dans une école publique située hors de sa commune (et ainsi empêcher l’inscription de l’élève).
Elle se trouve dans l’impossibilité de le faire pour des enfants qui s’inscriraient hors de la commune dans une école privée sous contrat, puisque, pour les élèves relevant de ces établissements, l’article 89 de la loi du 13 mars 2004 relative aux libertés et responsabilités locales impose aux communes d’assumer ces dépenses sans la moindre restriction. Alors que les familles inscrivant leurs enfants à l’école publique doivent respecter, dans de nombreuses communes, les contraintes d’une sectorisation scolaire, les établissements privés et les familles qui leur confient leurs enfants ont l’entière liberté d’organiser le flux et la scolarité des élèves.
La mise en oeuvre du décret, tel qu’il a été présenté, contribuerait à destabiliser l’organisation de la carte scolaire des écoles publiques.
Il accentuerait l’inégalité de traitement entre une école publique qui a vocation à accueillir tous les enfants en étant soumise à des règles de gestion très strictes et une école privée qui conserve la maîtrise de son recrutement et se voit octroyer, une fois de plus, une plus grande liberté de gestion.
Ceci est extrait d'une lettre commune de la FCPE, de la Ligue de l’Enseignement, du SE-UNSA, du SGEN-CFDT et du SNUipp-FSU. Comme quoi il faut faire très attention à ce que l'on fait.
Nos cinq organisations se sont opposées à ce projet de décret, comme la majorité du CSE, et nous tenons à vous rappeler les raisons de notre désaccord.
Cette disposition introduit une inégalité profonde en défaveur de l’école publique. Ainsi, dans certains cas définis précisément dans les trois derniers alinéas de l’article 212-8 du Code de l’Education, une municipalité peut refuser d’assumer les frais de fonctionnement liés à la scolarisation d’enfants dans une école publique située hors de sa commune (et ainsi empêcher l’inscription de l’élève).
Elle se trouve dans l’impossibilité de le faire pour des enfants qui s’inscriraient hors de la commune dans une école privée sous contrat, puisque, pour les élèves relevant de ces établissements, l’article 89 de la loi du 13 mars 2004 relative aux libertés et responsabilités locales impose aux communes d’assumer ces dépenses sans la moindre restriction. Alors que les familles inscrivant leurs enfants à l’école publique doivent respecter, dans de nombreuses communes, les contraintes d’une sectorisation scolaire, les établissements privés et les familles qui leur confient leurs enfants ont l’entière liberté d’organiser le flux et la scolarité des élèves.
La mise en oeuvre du décret, tel qu’il a été présenté, contribuerait à destabiliser l’organisation de la carte scolaire des écoles publiques.
Il accentuerait l’inégalité de traitement entre une école publique qui a vocation à accueillir tous les enfants en étant soumise à des règles de gestion très strictes et une école privée qui conserve la maîtrise de son recrutement et se voit octroyer, une fois de plus, une plus grande liberté de gestion.
Ceci est extrait d'une lettre commune de la FCPE, de la Ligue de l’Enseignement, du SE-UNSA, du SGEN-CFDT et du SNUipp-FSU. Comme quoi il faut faire très attention à ce que l'on fait.
08:05 Publié dans Calculs | Lien permanent
05/09/2006
Économies
Ce n'est pas en supprimant l'hôpital que l'on supprime les malades. (Vielle sagesse populaire).
22:40 Publié dans Calculs | Lien permanent
04/09/2006
Rentrée scolaire 2
Ils sont même 12 millions à rentrer. Et moi, et moi, et moi.
08:05 Publié dans Calculs | Lien permanent