15/12/2008
Bagnoles
Les constructeurs automobile se croyaient les plus puissants du monde. Filialisations, sous traitance, délocalisations, recours au travail intérimaire, tout était bon pour faire baisser les salaires et faire monter les dividendes des actionnaires.
Et là, krach !
Le consommateur sans salaire n’a plus le sou. Il ne peut plus emprunter aux banques qui ont joué à une roulette souvent devenue russe. Il ne peut plus acheter le rêve automobile.
En plus, ces constructeurs ont continué à proposer des voitures débiles avec des moteurs V6, mais sans prise iPod, que seuls les actionnaires friqués, mais peu nombreux, pouvaient se payer.
Et maintenant, ils veulent que la puissance publique les renfloue, pour qu’ils continuent sur la même route, même pas électrifiée. Et ce, sans prendre une part dans le capital, faudrait pas déconner.
En prime, un petit chantage aux licenciements.
Des précisions dans Le Figaro.
Désolé pour la longueur, mais l’exaspération monte.
09:12 Publié dans Calculs | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Commentaires ouverts.
Écrit par : Eric Hochet | 15/12/2008
Les ventes de voiture plongent encore plus aujourd'hui. Tu portes la poisse !
Écrit par : Reno | 16/12/2008
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