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07/04/2008

PS Convention

Le Parti Socialiste a toujours puisé sa force dans l’addition de ses composantes. C’est ce que François Mitterrand avait si bien réussi.
Mais n’est pas Mitterrand qui veut. Et ce n’est pas parce que l’on se décrète chef qu’automatiquement on est suivi. Un parti politique, ce n’est pas une armée. C’est toute la différence entre mobiliser et rassembler pour gagner.
Au mieux, la Convention Nationale du mois de juin, risque bien de n’accoucher que d’une souris. Au pire de cristalliser des divisions que, pour l'instant, tout le monde cherche à éviter.
D’autres points de vue dans Libération.
Au PS, faut-il ne voir qu’une tête ?


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