Taxe sur les malades

Il est vraiment difficile de rendre compte d’un événement. C’est du moins ce l’on peut penser lorsque l’on parcourt la presse après la rencontre des socialistes hier à Sciences Po.
De la richesse des analyses, des critiques, des projets et des propositions, il ne reste que quelques mots, précisément sur une histoire de paillettes.
De l'opposition à la taxe sur les malades, baptisée bizarrement « franchise », rien.
De la proposition de nouveau décompte des temps des interventions audiovisuelles, rien non plus.
Etc, etc...
Les détails sur Reconstruire la gauche.
Attendons lundi, les commentateurs retrouveront peut-être la mémoire.