09/10/2006
Alfredo
Un jour un camarade est là, bien vivant, tout en action et en écoute des autres. À un moment improbable et impalpable le téléphone sonne et tout bascule. La voix brisée dit la brutalité et la soudaineté des faits.
Alfredo, tu es parti et on ne peut le croire.
Alfredo, tu es parti et on ne peut le croire.
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