Tractopelles

C’était pas dur : SNCF = trains. Tout : rails, wagons, voitures, personnels, contrôles, régularité …

Mais on n’arrête pas le progrès : le fret est « libre ». Les trains circulent sur des voies gérées par Réseau Férré de France, organisme financier, nulle part cité comme étant le principal responsable.

Si les tractopelles privés ont l’humeur badine, c’est forcément la faute de la SNCF, dont les passagers sont forcément « en galère ». Les usagers sont devenus des clients, qui n’ont plus qu’à aller toucher leur chèque. Une partie de l’histoire dans Libération.

Pour faire rouler des trains, il faut un vrai savoir faire technique.

PS européennes

Les considérations de pré-scrutin vont bon train, surtout sur le PS, comme dans Le Figaro.

Rien n'est joué.

Européennes

Les socialistes mènent campagne. Et les autres ?

Portiques

Le bon sens pourrait vouloir que, puisqu’on a plusieurs millions de chômeurs, on repeuple un peu les établissements scolaires avec du personnel d’accompagnement et de surveillance, pris par exemple parmi les jeunes qui sont les plus touchés par cette inoccupation.

On peut aussi acheter des portiques, comme le voudrait le ministre et comme le rapporte Libération.

Le dialogue avec un portique, c'est plutôt délicat.

Chercheur

Il y a des chercheurs qui cherchent une place en politique. Et qui la trouvent. Mais la politique n’étant pas nécessairement le bon sens commun partagé par tous, il peut y avoir de profondes divergences avec les administrés.

C’est une partie de l’histoire de Claude Allègre, telle que la rapporte Mediapart dans un article de 5 pages.

La retraite a quelquefois du bon.

Récession

Comment annoncer aux Français, avec des termes positifs, que l’économie va mal ? Choix cruel pour le gouvernement, dénoncé par Jacques Généreux dans une interview à Libération.

Décroissance positive ?

Systématique ?

Martine Aubry était interrogée à 8 heures moins le quart sur France 2, ce matin. Elle répète qu’il y a un programme européen des socialistes, qu’il y a 3000 licenciements par jour en France et que c’est guère mieux ailleurs, que l’hôpital est menacé, que l’Europe doit être solidaire.

Pas un mot sur les meetings qui font salles combles dans toute la France : la seule question qui obsède le journaliste concerne l’ancienne candidate à l’élection présidentielle.

Sur une chaine d’information continue, quelques instants plus tard, le présentateur dit tranquillement que le PS n’a pas de programme et qu’il est désuni.

Qui a dit « campagne systématique » de dénigrement ?